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    Joyeux Noël !

    Paix et amour en ce beau jour de Noël!

    Chaque moment passé avec les êtres chers est indispensable à notre épanouissement et à notre bonheur. La fête de Noël est une belle occasion pour vous manifester tout notre attachement, et souhaiter que se réalisent tous vos désirs pour la nouvelle année!

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    15 commentaires
  •    Ben voilà une bonne chose de faite. c'est surement ce qu'on ce dit lorsqu'on termine un anime ou manga dans notre chère et longue liste de choses à faire :D (en tout cas c'est bien Moi ça)

       Anyway, je voulais juste vous faire découvrir un anime que j'ai simplement adoré ^^".

     

    Uta no prince sama: maji love 100% :Haruka Nanami a un rêve, elle veut devenir compositrice et écrire une chanson pour son idole préférée. Pour cela, elle va entrer dans la prestigieuse école Saotome et travailler plus que jamais. Elle y fera connaissance avec des garçons tout aussi prestigieux. Et parmi ces rencontres, une se révélera particulièrement inattendue…

    Opening: Orpheous Heart (Mamouru Miyano)[Complet]

     

    Paroles:

    kono mune ni kizamareta First impact, fast soul beat 

    seijaku ni yureru machi ANJU no uta wa doko e?
    samayotta meiro no hate Just feeling, just missing
    ima kimi wa nani wo negau?

    Sing your song hanaretete mo wakaru yo 

    Hear my wind tsunagatteiru sora wa hitotsu

    kagirinai Brand-new sky bokura wa 

    hitori ja nai kara
    haruka na kimi no RABU SONGU habataite
    shinjiyou Shiny days futari no
    zettaiteki na "Ai no Heart chain"

    We'll have an innocent dream. Feel me, touch me. 

    kono kodou ga mirai dakara

    sou, yoake wo matsu sekai e... 

    hibike Orpheus heart

    Ending: Serious love 1000%(Starish)[Complet]

    Paroles:

    All: DOKI DOKI de kowaresou 1000%* LOVE HEY!!

    Otoya: Are you ready? 

    Masato: Are you ready?
    Natsuki: Are you ready?

    Tokiya: Are you ready? 

    Ren: Are you ready?
    Shou: Are you ready?

    All: saa Let's song! 

    yume wo utaou (Let's shout!)
    sora ni utaou (Let's go!)
    hajikeru monogatari ni shichaimashou
    mirai no chizu wo (Yes x2) kimi to egakou
    kono REBORYUUSHON (We are)
    ikimashou (ST?RISH)
    ai wo Change the star
    Check it out!!

    Otoya: GIRI GIRI na mune no kodou 

    Tokiya: Uh baby gouin ni naru koi no shoudou
    Tokiya x Otoya: docchi wo erabu? PURINSESU
    All: KURA KURA shichau kurai 1000% LOVE

    Ren: naze ka?                                                                                                      Masato: kimi de
    Ren: afureteru
    Masato: kokoro
    Ren: sawagu
    Masato x Ren: fushigi na RAVE

    Natsuki: mada minu seiza wo                                                                   Shou: futari de tsumuide
    Natsuki: KISU yori
    Shou: sugoi
    Natsuki x Shou: uta de sekai wo tsukurou

    All: saa Let's dance!! 

    yume wo odorou (Let's shout!)
    sora ni odorou (Let's go!)
    yarisugi na kurai ga ii sa
    junbi wa OK?

    ikkai kiri no (Yes x2) 

    SUPESHARU jinsei
    kyoukasho ni wa (We are)
    nottenai (ST?RISH)
    ai wo Change the star
    Check it out!!

    koyoi wa hora futari de 1000% LOVE

    Critique:

    Uta no prince sama est un anime "Bien fait".

    Coté design des personnages, on est bien servi. Avec de si beaux garçons... par contre, le personnage principal est loin d'être parfait. En effet, avec ces yeux  or démesurés au pupils vertes... plutôt un extraterestre 0_0 !

    Coté Histoire, le découpage des treize épisodes "sans faute" pas le temps de s'ennuyer. Tous les ingrédients y sont : une université qui forme des idoles ( "LE" prétexte pour mettre en scène de beaux gosses « overlookés »). Une jeune fille pure et candide au centre de tous ces futurs princes de la pop. De la musique cheap et branchée sur des paroles dégoulinantes de miel et servie sur une chorégraphie digne des super juniors . 

    Note: 9.75/10 

    Et vous, avez vous accrocher? prévoyiez vous de le voir? 

     

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    2 commentaires
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     Mouahahaha....!!! Je vous souhaite une terifiante et horrible nuit,(ou pas xD).

    x Tout d'abord, Happy Halloween !! Ravie de vous recevoir dans mon humble manoir "raising dark shadow" (où ça?. elle délire la dame o.O). heureuse que vous ayez assez vécu pour me rejoindre ici (malheureusement =). un petit crie de guerre pour réveiller mes délicieux hôtes .... boouuuuu...Mouahahahahaha!...(*utain, elle est con*e ou elle fait ex-pré?. fais gaffe, on s'est jamais).

    x Je suis toute contente de vous signaler que le blog a dépasser les 1000 visites (wé, enfin....). en cet honneur, moi, prêtresse shaman, ex- guerrière bindou, future femme de Zero(touche pas a mon Zero) et actuellement conseillère en connerie et débilogie (et tu te crois drôle é.è?), vous es fait un petit montage sur notre merveilleux manga "vampire knight". So, enjoy:

     

    x Espérons que vous ne considérez pas ça comme un atteinte à l'Art et que vous laisserez tomber une poursuite contre moi quand vous verrez ça ↑ ( chiante --") , et place aux choses sérieuse (mouéh....):

    • Âme sensible, veuillez passer votre chemin, ici, vous aurez du mal a poursuivre. Pourquoi?. Ben parce que vous aurez affaire aux histoires scientifiquement inexplicable ou en d'autres termes, des histoires d'horreur (Coool. voyons voir)

    x Première Histoire :

    Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.

    Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

    Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :

    « Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »

    Mais Floppy n'arrivait pas.

    Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :

    « Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »

    Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :

    « Allo ?

    - ...

    - Allo ? C'est qui ?

    - Ca va Aurélie ?

    - Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

    - Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

    - Quoi !

    - Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

    - Vous avez fait du mal à Floppy ?

    - Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

    Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.



    Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

    « Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

    Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.

    Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.



    Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.



    Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

    Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.



    Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.



    La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

    « Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

    - ...

    - Tu sais où je suis ?

    - Heu... n... heu... n... non.

    - Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

    - Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !

    - Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

    - ...

    - Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

    - Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

    Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

    La voix à l'autre bout du fil reprit :

    - Tu sais Aurélie ?

    - Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

    - Je suis au premier étage maintenant ! »

    Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.



    Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

    Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

    Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.



    Et le téléphone continuait de sonner...

    Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

    Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

    Et la sonnerie devenait insupportable !



    Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

    « Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

    - ...

    - Tu sais où je suis ? »

    Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

    « Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

    La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.



    Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.



    Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

    « Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »

    Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...



    JE SUIS DERRIERE TOI ! 

    x Deuxième Histoire:

    Dormir...

    ... Maintenant cette idée la terrifiait.

    Malgré la douce chaleur de la couette qui l'invitait au sommeil, elle n'arrivait pas à dormir, elle savait trop ce qui l'y attendait :

    Il y avait ce rêve.

    Cet effroyable rêve, enfermée dans cette boîte sans lumière et trop petite pour la laisser bouger.

    Ce cauchemar, emprisonnée dans ce cercueil, qui finissait toujours par voler en éclats...

    ... et puis cette horrible sensation de chute qui s'en suivait toujours.



    Quand elle avait eu ce rêve pour la première fois, elle s'était réveillée, terrifiée, tellement marquée qu'il lui fallut bien une bonne heure avant de pouvoir se rendormir. Puis la nuit suivante, et encore celle d'après... toutes les nuits, ce rêve revenait, hantait son sommeil... et pendant le jour, ne lui laissait plus que la crainte de la prochaine nuit.

    Elle avait bien essayé d'en parler à ses amis, même à ses parents, mais elle n'avait trouvé aucune oreille attentive à ses problèmes. Alors entre moquerie et inattention, elle finit par se renfermer petit à petit sur elle-même.



    Deux semaines s'étaient écoulées depuis. Il était maintenant une heure du matin... et malgré la peur, elle avait fini par se laisser aller : elle dormait.



    Elle ouvrit les yeux sur le néant, aucune forme ne se détachait dans cette obscurité totale. Elle se retrouvait une énième fois enfermée, debout dans cette boîte tellement étroite qu'elle ne pouvait pas même relever les bras.

    Surtout il fallait qu'elle reste calme : les premières fois, elle avait complètement paniqué, mais cela n'avait rendu l'expérience que plus dure.

    Le manque d'air se faisait maintenant sentir, mais elle se tenait tranquille, elle savait qu'il ne fallait pas lutter, elle attendait, immobile, telle une momie dans son sarcophage, que celui-ci daigne s'ouvrir.



    Et encore une fois ce grand fracas assourdissant qui venait de toutes parts, et les parois de ce cercueil qu'elle sentit propulsées loin d'elle.

    Son corps s'en trouvait ainsi libre...

    ... libre d'être emporté vers cette chute vertigineuse...



    Elle avait déjà désespérément essayé d'éviter cette effroyable chute en s'accrochant aux parois avant que tout ne se disloque. Mais elle n'arrivait à s'agripper d'aucune façon à leur surface lisse... et à chaque fois elle tombait, et instantanément l'horrible sensation de vide et de chute la tirait du sommeil.

    Mais maintenant, elle voulait que tout cela s'arrête.

    Elle voulait percer le secret de ce cauchemar obsédant et récurant.

    Cette fois-ci, elle ferait tout pour savoir ce qui l'attendait au bout du rêve... après la chute.



    Le silence était absolu, même pas le bruit du vent autour d'elle, d'ailleurs elle ne sentait pas d'air contre elle... Elle ne ressentait que ce vertige, cette affreuse sensation de chute qui la terrifiait et lui retournait l'estomac. Elle paniquait, mais résistait, elle gardait ses yeux vigoureusement fermés et cherchait péniblement à se calmer. Elle se sentait de plus en plus envahie par la nausée, le vertige et la peur.

    Puis un son lui perça les tympans : aigu et strident, une espèce de grincement ininterrompu. Elle se tint les oreilles à deux mains, elle essaya de crier, mais sûrement couvert par ce bruit atroce, elle n'entendit rien sortir de sa bouche. Le bruit augmentait, devenait complètement insupportable, elle allait devenir folle si cela continuait. Et subitement, l'insoutenable crissement s'interrompit... le silence revint.

    Puis progressivement, le calme s'installa à nouveau en elle, peu à peu la sensation de chute se dissipa, et lentement tout son corps lui sembla plus reposé, plus détendu, lui donnant finalement l'impression d'être enveloppé dans du coton. Elle se sentait plus calme, presque somnolente, comme à demi endormie, comme si tout s'éloignait petit à petit...

    ... Elle se réveilla, allongée dans son lit.



    La lumière était allumée, sa mère, agenouillée à ses côtés, la regardait tendrement, son doux visage éclairé par la chaude lueur de la lampe de chevet. Elle se sentait en sécurité, calme et reposée. Elle voulu alors dire à sa mère qu'elle était contente de la voir, de la sentir près d'elle après cette expérience terrible... Mais elle n'arrivait pas : ses lèvres ne bougeaient pas ! Elle essaya plusieurs fois, mais elles restaient inexorablement figées. Paniquée, elle tenta de bouger la tête, mais sans résultats. Puis, horrifiée, elle essaya de bouger un bras ou une jambe, pourtant son corps resta invariablement immobile. A part ses yeux, elle demeurait complètement figée, et c'est quand elle les tourna à nouveau vers sa mère que sa terreur fut totale : Elle se décomposait devant elle, sa peau n'était plus qu'une croûte grise qui tombait en lambeaux, laissant apparaître la chair rougeâtre et suintante. D'ailleurs, des centaines de petits vers commencèrent à sortir de toutes ses plaies et rampaient maintenant partout sur son corps. Ses lèvres finirent par pendre, se détachèrent progressivement, et finalement tombèrent, laissant ses mâchoires à nu. Son sourire n'était plus, il avait fait place à deux rangées de dents pourries. Puis les paupières suivirent, et tombèrent à leur tour...



    Elle avait envie de hurler, de pleurer, mais elle ne pouvait rien faire, impuissante, figée dans ce lit, avec le spectacle de ce qui restait de sa mère se décomposant devant elle. Son effroi atteignit des sommets : Ce qui n'était plus qu'un cadavre décomposé se penchait vers elle, et tendait lentement une main vers son visage ! Elle essaya de se débattre, mais toujours figée, elle ne put qu'assister, impuissante, à cette main qui vint lui caresser doucement la joue : Elle était humide et glacée, et sa joue devint de plus en plus froide, puis se fut tout son visage qui s'engourdit. Très vite, elle sentit tout son corps se geler... un immense froid l'envahit, la mordit, la dévora. Et petit à petit elle se sentit partir, s'éloigner de tout cela. Elle percevait de moins en moins le froid... tout s'assombrissait, tout disparaissait...



    Le lendemain, les parents la trouvèrent morte dans son lit : étouffée pendant la nuit : L'analyse révéla qu'elle souffrait d'apnée du sommeil.

    Le réveil causé par la sensation de chute lors de ses cauchemars l'avait empêché de succomber à l'étouffement... Sauf cette nuit où elle avait cherché à savoir ce qui pouvait se cacher derrière cet abîme, au-delà de ce gouffre dans lequel elle tombait chaque nuit.

    x Troisième Histoire:

    Laissez-moi vous conter ce soir funèbre où ma vie a basculé, ce soir où j'ai bien cru que j'allais mourir, ce soir où j'ai perdu la raison : c'était un soir de printemps, j'avais alors 14 ans.

    A cette époque, ma grand-mère maternelle n'allait pas bien du tout. Elle était à l'hôpital depuis déjà deux ou trois semaines, j'étais allé la voir quelques fois avec mes parents, mais elle ne me paraissait pas vraiment bien aller, et je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'elle ne rentrerait plus chez elle. Et puis aussi ce jour-là il avait fait beau, et je me sentais bien, ainsi, lorsque mes parents m'ont proposé d'aller la voir, avec eux, en cette fin d'après-midi, j'ai refusé. Mon père a alors suggéré d'aller au restaurant pour se détendre après la visite à l'hôpital, l'idée tentait ma mère, mais moi je voulais rester à la maison. Alors sans attendre je leur ai dit que je pouvais bien passer la soirée tout seul. Ils m'ont alors proposé d'inviter des copains si je le voulais, et je ne me suis pas fait prier pour accepter ! C'est ainsi que je me suis retrouvé ce soir-là avec Arnaud et David : deux amis avec qui je passais la majeure partie de mon temps depuis le début du collège.

    Nous nous trouvions dans ma chambre à écouter de la musique. Sans explications, Arnaud baissa le volume. David et moi le regardions, intrigués, puis finalement d'un air amusé il nous demanda :

    - Dites, ça ne vous dirait pas qu'on se raconte quelques histoires qui font peur, hein ? Ca pourrait être sympa, non ?

    J'hésitais quelques peu, surpris par cette proposition. Finalement David accepta, et je le suivis. Alors Arnaud tout en coupant la musique, nous demanda :

    - Alors ! qui commence ?

    Tout d'abord, aucun de nous ne répondit. Moi j'avais bien une idée d'histoire, mais je n'osais pas trop la raconter... Et mon dieu ! J'aurais vraiment bien fait de me taire ce soir-là, mais je ne l'ai pas fait : En effet, timidement je finis par répondre :

    - Heu... moi... à la limite... j'en ai bien une.

    - Ah ?

    - Ouais mais heu... je sais pas si elle va bien rendre... je...

    - Bah allez, te fait pas prier, vas-y !

    Et je l'ai fait, malheureusement, je l'ai fait : Je me suis assis en tailleur sur le lit, et pendant que d'un air grave je fixais alternativement Arnaud et David, ils se sont assis autour de moi, au bord du matelas. J'ai laissé passer quelques secondes afin de rendre l'atmosphère encore un peu plus lourde, puis j'ai entamé mon récit :

    « C'est une histoire assez terrible dont j'ai entendu parler une fois. Cela se passait il y a quelques années : Un père de famille rentrait chez lui après le travail, il trouva sa maison en train de brûler. Il habitait à la campagne, et il n'y avait pas de voisins pour alerter les pompiers. Il pensa tout de suite à son fils de sept ans qui était peut-être dans la maison, il se précipita alors à l'intérieur, cria pour l'appeler, et... il eut une réponse ! Son fils était bloqué dans sa chambre, le père couru jusqu'à la porte, essaya de l'ouvrir, mais elle restait bloquée : Dans la chambre, une poutre tombée du plafond l'empêchait de s'ouvrir. Il cogna, et cogna encore de toutes ses forces contre la porte, il se ruait contre elle, son fils hurlait, il appelait à l'aide, et lui, il paniquait : la porte ne s'ouvrait pas. Il se rua encore contre elle, il hurlait de rage, pleurait de désespoir, il ne réfléchissait plus, il n'y avait plus que cette porte, et son fils qui hurlait de l'autre côté. Il a appelé à l'aide jusqu'à la fin : Son fils à brûlé dans la maison, et le père aussi. Il n'a jamais réussi à ouvrir la porte, et il est resté à se ruer contre elle jusqu'à sa mort. »

    Arnaud me regarda l'air dégoûté, et me dit :

    - Ben dit donc, c'est glauque !

    - C'est pas joyeux en effet, répondit David avant que je ne réagisse. Il avait aussi l'air assez choqué par l'histoire.

    C'est alors que, emporté par ce succès, j'ai raconté la suite. J'ai été stupide, elle me faisait aussi peur qu'à eux cette histoire, surtout la suite... et j'ai vraiment été idiot d'avoir continué, je n'aurais jamais dû, jamais.

    « Oui, mais vous ne connaissez pas la suite... Parce que depuis lors, le fantôme du père cherche toujours à ouvrir la porte et à sauver son fils. Et si tu dis... heu... je ne préfère pas le dire vraiment... Mais en gros si tu appeles à l'aide en criant « papa », que tu dis que tout brûle, et que tu lui demandes de venir te chercher, cela attire le fantôme, et il arrive derrière ta porte pour te prendre »

    David, pensif, me regarda l'air intrigué, et calmement me dit :

    - Purée ça fout les boules, c'est sûr... Mais bon toi, tu as déjà essayé de l'appeler ?

    - Non... ça me fait assez peur comme ça ! Je n'ai pas envie d'aller vérifier. »

    Arnaud, une lueur d'excitation dans le regard, observa David, puis moi, et finalement nous demanda :

    - Hé ! ça vous dirait d'essayer ?

    Je me crispai, comprenant que je n'avais pas du tout envie d'essayer une chose pareille, je regrettai déjà d'en avoir parlé. Mais David, lui, semblait y réfléchir, et au bout de quelques secondes il finit par lever la tête et dire « ouais ! Pourquoi pas ! ».

    J'allais leur dire que je ne souhaitais pas du tout faire une telle chose, mais Arnaud n'attendit pas que je manifeste mon opinion : Sans me porter le moindre regard, il commença à parler d'une voix aiguë et chevrotante, cherchant à imiter celle d'un petit garçon :

    - Papa ! ppaaappppaa, à l'aaaaiiiiiide, tooouuut brrrûûûûle autour de moi, j'ai peeeeeuuurrr !

    Il souriait, mais moi pas du tout : j'étais vraiment terrifié. Mais lui il souriait, et David le regardait avec amusement, sans rien dire. Et il reprit encore de plus belle, sa voix était maintenant plus forte, il criait presque :

    - JJEEEEEE BRRRRRUUUUUUULLLE, PPPPAAAAPPPPPAAAAAA, JEEEE BRRRUUUULLLLEEE, AAAAAAAAHHHHHHHH !

    - ARRETE MAINTENANT ARNAUD ! C'EST PAS DROLE.

    C'était sorti comme ça, je le fusillais du regard, je me sentais énervé, mais j'étais surtout terrorisé, j'avais vraiment peur, et je ne voulais pas en entendre plus.

    - Ben... quoi ? T'as peur ? Oh, allez c'est pas grand-chose, non ? C'est une histoire ! c'est tout ! Allez...

    Et toujours ce stupide sourire aux lèvres il reprit :

    - PAAAAAPPAAAAAA JEEEE T'EEEEENNN SSSUUUUPPPPLLLLLIIEEE, PAPAAAAAA, IL Y A LE FFEEEUU PAAARRRRTTT...

    - TU ! ... ARRETES ! ... MAINTENANT ! ... COMPRIS ? »

    Là il s'était tu, il n'y avait plus un bruit dans la chambre, Arnaud me regardait, l'air étonné, sûrement qu'il avait été surpris par l'agressivité et la colère que je venais de déployer pour lui crier de s'arrêter : J'en étais d'ailleurs essoufflé, et je le fixais du regard le plus réprobateur et colérique que je pouvais.

    On ne parlait plus, Arnaud et moi restions là, immobiles, à se fixer mutuellement. Finalement, David, tout timidement, finit par dire :

    - Bon, allez les gars, on ne va pas se disputer pour ça, hein les...



    « BOUM ! ... BOUM ! ... BOUM ! ... »



    Nous avons sursauté tous les trois, une décharge d'adrénaline m'a envahi. Je me suis braqué ainsi que mes deux amis vers la source du bruit : vers la porte de ma chambre. Le bruit continuait, impassible et terrifiant :



    « ... BOUM ! ... BOUM ! ... BOUM ! ... »



    - C'est quoi ce boucan ! s'écria Arnaud dont la voix couvrait à peine le bruit de coups de plus en plus fort qui provenait de la porte.

    - Si c'est une blague, c'est vraiment pas drôle, rétorqua David qui se tenait maintenant debout, plaqué contre le mur opposé à la porte. Il semblait mort de peur, il fallait dire que moi aussi je l'étais.

    Et puis là, en prime des coups contre la porte, ont commencé les cris, ces horribles cris qui malheureusement resteront je crois bien à jamais gravés dans ma mémoire. Je peux les entendre encore aujourd'hui alors que je vous parle : Cela ressemblait à un monstrueux mélange entre le brame d'un cerf et le cri d'un éléphant, même si cette description ne me semble pas si proche de la réalité, je ne trouve pas trop de comparatifs pour l'exprimer. Ce cri était en tout cas inhumain, aigu et profond, d'une tristesse infinie et d'une agressivité sans nom... Et les coups contre la porte, et ce cri horrible, continuaient, sans relâche... sans la moindre trêve. J'étais terrorisé, je m'étais rabattu vers les oreillers du lit, et je les serrais d'ailleurs très fort. Arnaud lui, plus valeureux, même s'il n'avait pas l'air très fier, avait saisi ma chaise de bureau, et la brandissait, prêt à frapper ce qui pourrait entrer dans la chambre.

    Mais ce fut David qui paniqua le plus, les cris immondes avaient dû finir de ronger les dernières subsistances du courage qui l'empêchait de s'écrouler : Il était maintenant assis contre le mur, recroquevillé sur lui-même, son visage était tout rouge, il pleurait, il gémissait, mais entre ses larmes il finit par parler un peu :

    - ooohhhhh noooonnn, c'est quoi ce truc, j'ai peeeuuur, à l'aide, à l'aaaiiiide.

    Immédiatement, comme pour répondre aux geignements de David, le cri se fit encore plus fort, encore plus déchirant, encore plus terrifiant. Cette fois-ci les coups redoublèrent contre la porte, elle était parcourue de soubresaut, mais bizarrement ou plutôt monstrueusement, elle restait fermée, et ne se brisait pas.

    Puis la panique finit d'envahir David, il se leva, ouvrit la fenêtre, et tout en pleurant nous dit :

    - J'veux pas rester là moi, j'préfère tenter ma chance par dehors.

    - Non, fais pas...

    Mais j'eus à peine le temps de réagir, qu'il était déjà en train de se laisser glisser par l'encadrement de la fenêtre. Et le temps de me lever du lit pour aller le retenir, je l'entendais déjà glisser sur les ardoises du toit... puis, je ne l'entendis plus. Son silence m'a semblé durer très longtemps, et ce fut son cri, déchirant, qui me renvoya à la réalité :

    « AAAAAHHHH, J'AI MMAAAAALLL ! JE SUIS TTTTOOOOMMMBBEEEEE ! MMMOOONNNN DDDDOOOOSSSS, AAAAAHHHH J'AI MMAAAAAALLLL ! »

    Et là l'horreur fut totale : A travers l'encadrement de la fenêtre, je regardais David, qui hurlait, gisant sur la terrasse du jardin, en bas. Et les cris émis par ce qui était derrière la porte devinrent complètement fous et assourdissants. Les coups portés devenaient plus fréquents, à un rythme monstrueux, insoutenable : Je devenais fou, tout cela était un cauchemar implacable, terrifiant, et les cris de David qui agonisait en bas ne faisaient qu'ajouter à l'horreur de la situation. Surtout que ni Arnaud ni moi ne pouvions sortir de la chambre pour lui venir en aide.

    Et l'odeur ! Je ne m'en étais pas rendu compte au début, mais maintenant l'air de la chambre en devenait suffocant tellement la puanteur était atroce. Une odeur de viande pourrie, mêlée à celle de cochon brûlé : et mon dieu c'était insoutenable, abominable. Je me suis détourné de la fenêtre : je vis Arnaud qui restait immobile, debout, sa chaise dans les mains, les yeux écarquillés, il avait l'air ailleurs. Je me demandais comment il faisait pour rester en plein milieu de la pièce, alors qu'elle baignait dans cette puanteur. C'est alors que sans bouger plus que la main, il finit par lâcher sa chaise, puis un soubresaut le parcouru, il se courba en deux, et vomis abondement sur la moquette. La vision que j'avais devant moi d'Arnaud vomissant, le son que cela produisit, ainsi que l'odeur qui se mêlait à celle immonde de viande pourrie et brûlée, en était trop pour moi aussi, et je vomis à mon tour.

    Je me sentais fatigué, je m'appuyai dos au mur, David continuait d'hurler au dehors, et les coups sur la porte n'arrêtaient plus, ils avaient encore redoublé. J'eus alors l'idée que les cris de David au dehors pouvaient stimuler la source de tout cela, et sans réfléchir d'avantage, je me retournai vers la fenêtre et la refermai avec empressement. J'eus du mal à expliquer à Arnaud pourquoi j'avais fermé la fenêtre, pourquoi on allait pas aider David. Mais il fallait arrêter de faire du bruit, des geignements, des plaintes qui pouvaient attirer ce qu'il y avait derrière la porte. Il fallait attendre qu'il s'en aille, avant de descendre au rez-de-chaussée appeler quelqu'un au téléphone pour venir en aide à David. Arnaud finit par comprendre, et nous nous sommes calmement assis, terrifiés malgré tout par cette ambiance cataclysmique de coups ininterrompus contre la porte, par ce cri immonde qui nous perçait les tympans, et par cette odeur insoutenable qui se mélangeait maintenant à l'odeur de nos vomissures.

    Et nous avons attendu que tout cela s'arrête, nous étions assis en tailleur, à même le sol, sans bouger, pales et terrifiés. Progressivement les cris se sont calmés, l'odeur s'est atténuée, et les coups contre la porte ont baissé en fréquence et en intensité... jusqu'à ce que le silence revienne enfin, et que nous pouvions de nouveau entendre, étouffés à travers la fenêtre fermée, les cris de douleur de David qui gisait toujours au dehors.

    Arnaud me regarda alors, et à voix basse me demanda :

    - A ton avis maintenant, qu'est ce qu'on fait ?

    Je réfléchis un peu avant de répondre, puis dit :

    - Il faudrait téléphoner aux pompiers, ou je sais pas... à une ambulance ! Pour venir en aide à David.

    - Il est où le téleph...

    - Le téléphone est en bas.

    - Tu penses que c'est parti ?

    - Ben... on ne l'entend plus...

    - C'est vrai...

    - Va falloir descendre... en bas... Heu... j'ai pas trop envie... de... de... sortir. Je...

    - Bon, je vais y aller... De toute façon, il est plus là, hein ?

    - Heu... t'es sûr ?

    - Mais oui.

    Arnaud se leva alors lentement. D'un pas hésitant, il s'avança jusqu'à la porte. Saisis doucement la poignée, et poussa légèrement la porte qui s'entrebâilla sur le couloir. L'air amusé il se retourna vers moi, et dit à haute voix:

    - C'est dingue, la porte était ouverte, il est con ce fan...

    Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase que comme un éclair, une main surgit de l'encadrement de la porte entrebâillée, se rallongea d'une manière monstrueuse et vint agripper Arnaud à la taille : Celui-ci restait pétrifié, sans même crier, les yeux écarquillés. A première vue, la main, et le bras m'avaient semblé de couleur noire, mais à cause des petites brillances, de ces sortes d'écailles que je discernais dessus, j'eus l'horreur de deviner que toute la peau de ce « bras » qui s'enroulait maintenant autour de la taille d'Arnaud était entièrement brûlée. D'ailleurs l'odeur de porc brûlé et de viande pourrie revint m'assaillir les narines.

    Je n'eus que le temps de me lever avant de voir Arnaud disparaître sous mes yeux, emporté dans le couloir à une vitesse impossible, puis la porte se referma dans un claquement assourdissant. Je courus jusqu'à la porte, mais je ne voulus pas y toucher, je ne voulais pas l'ouvrir. Je criai alors le nom d'Arnaud, j'ai bien dû rester là pendant une éternité à crier son nom, mais rien, aucune réponse.

    Et je n'avais pas osé ouvrir la porte : j'avais peur que cela soit encore derrière. Toujours comme aujourd'hui d'ailleurs : En effet, même maintenant j'ai encore la peur d'ouvrir une porte, mes parents m'ont amené chez le psychiatre après ce soir-là, mais je ne lui ai jamais rien dit, ni à personne d'ailleurs, pas même à mes parents. De toute façon, ils ne me croiraient pas.

    Personne ne revit jamais Arnaud, on m'a demandé si je l'avais vu ce soir-là, mais j'ai dit que non, et David en fit de même... : Lui, il passa un mois à l'hôpital, il s'était cassé le coccyx en tombant du toit... Et aussi bien lui que moi sommes maintenant toujours terrifiés quand nous nous retrouvons face à une porte fermée : Nous avons toujours peur qu'un jour cela vienne nous chercher à notre tour, nous n'osons plus ouvrir la moindre porte de peur qu'il soit de l'autre côté. Oui, nous avons et aurons maintenant toujours peur de ce qu'il peut y avoir... y avoir derrière la porte.

     

    Et voilà, c'est fini la torture, je vous souhaite une bonne nuit (oui, si je pouvais dormir après ça) et enore Happy Halloween !

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  •  Fiche Technique:

     

    Titre de L'animé : Vampire Knight
    Année de production : 2008
    Genres : Drame /Fantastique/Amour et Amitié
    Auteur : Matsuri Hino
    2 Saisons – 13 éps 24 mins

     

    Pour la majorité des gens, les vampires ne sont qu’une légende inventée de toutes pièces. Ils ne se doutent pas que ces êtres, qui se situent au dessus d’eux dans la chaîne alimentaire, vivent à leurs côtés dans la plus grande discrétion.
    Si les vampires sont bel et bien des êtres se nourrissant du sang humain, entraînant dans la plupart des cas la mort de ces derniers, certains savent contenir leur soif à l’aide de tablettes spéciales et vont jusqu’à protéger les humains de leurs congénères.

    La volonté de faire vivre pacifiquement les deux races anime le cœur d’un homme qui a crée l’Académie Cross. La particularité de cette dernière est qu’elle est utilisée par des classes de nuit (constituées de vampires) et des classes de jour (constituées d’humains). Le système de rotation mis en place permet aux deux classes de n’avoir jamais à utiliser le bâtiment au même moment, ceci dans le but de préserver le secret sur l’existence des vampires. Yuuki et Kiryuu sont les deux élèves chargés la nuit de surveiller qu’aucun humain ne rentre dans l’Académie afin d’éviter tout incident avec les vampires. Si Yuuki a été sauvée par l’un deux dans son enfance et sait être indulgente à leur égard, Kiryuu lui, leur doit la perte de ses parents et leur voue une haine profonde en raison de cela. De l’autre côté, même si la plupart des vampires acceptent le règlement de l’Académie, certains commencent à avoir du mal à retenir leurs pulsions originelles. La question se pose alors de savoir si vampires et humains sont réellement capables de vivre ensemble où si leur cohabitation entraînera inévitablement un bain de sang.
    [source: Hinata Online]

    →Où le visionner? bah, ici:

    Saison 01:

    Episode 01:

    Episode 02:

    Episode 03:

    Episode 04:

    Episode 05:

    Episode 06:

    Episode 07:

    Episode 08:

    Episode 09:

    Episode 10:

    Episode 11:

    Episdoe 12:

    Episode 13:

     

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  • Eh oui, nous avons atteins depuis quelques jours déjà, les 800 visites et pour cette occasion, notre liliana chérie (qu'on aime tous ^^) nous offre ce magnifique montage, le voilà:

    800 visites !!

     

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